Alors qu’un backlash sans précédent se prépare porté par des broligarches sans scrupules qui vont jusqu’à bannir les termes : “LGBTQIA+”, “femme” ou “climat” des sites de l’administration #Trump. Et que le monde observe avec sidération la montée de l’extrême-droite, et encaisse les attaques répétées contre les droits humains les plus fondamentaux, #MeToo continue de faire tomber des têtes en France.
Après #Jacquot et #Doillon, c’est au tour de #Plaza d’être reconnu coupable de violences conjugales et condamné à 12 mois de prison avec sursis.
Quand à Moix et Depardieu, ils font à nouveau les gros titres et c’est loin d’être une fiction ! C’est même du grand art ! Les deux compères montrent qu’ils excellent dans la culture du vi*l, en se déversant sans aucune retenue à micro ouvert en plein tournage.
Homophobie, pédophilie, vi*ls à demi avoués, plebiscitation de violences conjugales, harcèlement répété, les deux prédateurs affichent leur racisme et leur sexisme décomplexés sous l’œil de leur propre caméra dans un second round.
Il y a 2 choses qu’on adore au sein du mouvement FEMEN:
La première, c’est lorsque la culture du vi*l se prend les pieds dans le tapis. Que l’arroseur finit arrosé.
La seconde, c’est d’observer les stratégies de défense pathétiques que mettent en place les présumés agresseurs : amnésie (#Bayrou), mauvaise foi(#Caubère, #Bedos…), procédure bâillon(#Berry),mort d’un animal domestique (#Gueriau) ou dans ce cas précis, Moix a invoqué la liberté de création en soulignant que leurs échanges n’étaient qu’une fiction.
À force d’impunité, #Depardieu et #Moixremportent le totem des personnalités les plus détestées et impopulaires du moment avec talent !
Bravo à eux !
